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  Sébastien Bordel

 

   Titulaire d'un Mastère II (Bac + 5) de Géométrie Algébrique

 

   04 67 54 78 71 - 06 52 86 88 49

 

 

Salle de cours

 

 

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Secondaire

Au Collège

  • Manque de confiance en soi,
  • soucis avec les règles de calcul,
  • soucis en géométrie pour "voir", pour rédiger ou pour démontrer, 
  • relever le moyenne,
  • préparer le Brevet,
  • réviser le "socle commun" pour réussir la rentrée au Lycée...

... J'interviens 12 mois sur 12 sur simple RDV.

Au Lycée

  • Combler les lacunes qui empêchent de progresser,
  • redresser le moyenne,
  • révisions ponctuelles, en cours d'année à l'approche des chapitres clés (par exemple les "dérivées" en première),
  • préparer le Bac  L, ES, S (programme obligatoire ou spécialité), épreuves ecrites, orales et session de rattrapage,
  • stages d'été pour réussir la rentrée en Seconde, en Première, en Terminale et dans le supérieur...

... contactez-moi, pour un avis gratuit.

 

Montpellier, le samedi 4 mai 2013. Systèmes linéaires de deux équations à deux inconnues. Devoir de Maison niveau 2onde.

systmesdedeuxequationsadeuxinconnuest.d.seconde.pdf
Le 04/05/2013. Devoir de maison niveau seconde (Lycée Jules Guesde): Systèmes de deux équations linéaires à deux inconnues.

Montpellier, le vendredi 3 mai 2013. Pythagore, Thalès, cosinus, droite des milieux, droites remarquables. Exercice de synthèse niveau 4ème.

exn18p.233ssamath4me.pdf
Exercice de synthèse, niveau 4ème, manuel Sésamath, collège La Salle.

Suite au cours du 22/01/2013, deux remarques sur la démonstration de propriétés du chapitre de 1ère S sur les variables aléatoires.

 

1) Pour prouver la relation de König-Huygens, on doit entre autres montrer l'égalité:

 

[Somme sur i=1,...,n des (Pi).(Xi)²] = E(X²),

 

X est une v.a. réelle, définie sur un univers des issues Oméga et où les probabilités Pi sont définies par:

 

Pi = P(X=xi).

 

Par ailleurs, n'oublions pas que l'espérance de la v.a. est donnée par la formule: 

 

E(X²) = [Somme sur j=1,...,m des P(X²=Yj).Yj],

 

où les Yj sont les valeurs (réelles) positives prisent par la v.a. X². Ensemblistement, on a dans Oméga,

 

(X²=Yj) = (X=+Racine carrée de Yj) U (X=-Racine carrée de Yj),

 

réunion de deux ensembles (nous préciserons que l'un au moins est non vide), disjoints (dès que Yj est non nul). Donc, en termes de probabilistes:                        

 

P( X²=Yj) = P(X=+RYj) + P(X²=-RYj)

 

, comme toujours, si un ensemble est vide, sa probabilité est nulle.

 

E(X²) = {Somme sur j=1,...,m des [P(X=+RYj) + P(X=-RYj)].Yj}

 

Précisons que pour tout j de [[1;m]], il existe au moins un et au plus deux i de [[1;n]] tel(s) que Yj=(Xi)² (revoir si besoin les antécédents de la fonction x |--> x²).

Dans le cas où il en existe deux, soient k et l ces deux indices, on a alors Xk=-Xl. Ainsi

 

E(X²) = [somme des (Xi)².P(X=Xi) sur les i tels que Xi>0] + [somme des (Xi)².P(X=Xi) sur tels que Xi<0].

 

S'il existe un i tel que Xi=0, le terme correspondant 0.P(X=0), étant nul, n'influe pas sur l'espérance. Ainsi

 

E(X²) = [Somme des (Xi²).P(X=Xi) sur tous les i de 1 à n],

 

Conclusion: comme, par choix des notations, P(X=Xi) = Pi, E(X²) s'exprime simplement en fonctions des "Pi de X", selon la relation mentionnée en violet ci-dessus.

 

Exemple: soit l'expérience aléatoire modélisée par le triplet (Oméga, P, X):

- Oméga = {a,b,c,d}; 

- P : Oméga --> [[0;1]] définie par P(a)=0,1 ; P(b)=0,2 ; P(c)=0,4 ; P(d)=0,7 ;

- X : Oméga --> IR définie par: X(a)=-1 ; X(b)=0 ; X(c)=1 ; X(d)=2 . 

 

E(X²) = 0,1.(-1)² + 0,2.0² +0,4.1² + 0,7.2²

 

E(X²) = 0,1+0+0,4+2,8

 

E(X²) = (0,1+0,4)+2,8

 

E(X²) = 3,3.

 

Les parenthèses de l'avant dernière ligne regroupent les termes 1.P(X=1) = 0,1 et 1.P(X=-1) = 0,4 dont somme vaut 1.P(X²=1) = 0,5.

 

 

 

 

2) Il est possible de s'y prendre en deux fois pour démontrer la relation

 

V(aX+b)=a²V(X).

 

- D'abord montrer que pour toute v.a. Y et pour toute constante réelle b

 

V(Y+b)=V(Y);

 

- Ensuite, remarquer que si X est une v.a., alors, pour toute constante réel aaX est aussi une v.a.. On peut donc écrire:

 

V(aX+b)=V(aX).

 

Il ne reste plus qu' prouver que

 

V(aX)=a²V(X).

 

 

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